Sous les jupes des filles...

Sous les jupes des filles...

Sous les jupes des filles…selon  Alain Souchon,

Un joli cœur y brille, bien plus que de raison.

Pourquoi « piquer un mat » ou « piquer un jeton »,

Est-elle une expression, galvaudée des garçons ?

Pour l’avoir fait mienne, en de maintes occasions,

Rien de cela me gène, j’en connais les raisons.

Dès mon adolescence, les terrasses de café,

Furent un lieu d’observance, un site privilégié.

Une jolie nénette, les jambes bien croisées,

Vous met l’esprit en fête, et vous fait supposer,

Qu’elle ne va pas tarder… à bien les décroisez,

Pour offrir à vos yeux, un spectacle rêvé.

Dans le meilleur des cas, une petite culotte,

Provoque votre émoi,  vous assèche la glotte,

Mais si, comme par hasard, elle n’en possède pas,

Un beau triangle noir, vous laisse alors sans voix.

Poursuivant l’aventure, il m’arrivait alors,

D’opter pour l’escalier, contre l’escalator.

Car emboîter le pas, d’une jolie jupette,

N’offre souvent qu’un choix : se réjouir les mirettes.

Est apparu le string, et sa petite ficelle,

Qui  lui, sépare en deux, un triangle isocèle.

Mais qui, vu par derrière, à l’avantage exquis,

D’offrir à de belles fesses, une promo garantie.

Que dire cependant, du « Jean » si moulant,

Qu’il faut un chausse-pied, pour se glisser dedans.

Si aucun mauvais pli, n’apparait à l’instant,

Ni devant, ni derrière, le slip est bien absent.

Mesdames, mesdemoiselles, surtout ne changez rien,

Demeurez  la pucelle, dont nous sommes l’arlequin.

Moi, en tant que puceau, de trop longues années,

Vous voir sans oripeaux, m’a toujours fait rêver. 

J.P.P.

(Juvénile Petit Puceau)